Centre d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel

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C. P. 10117, succursale Bureau Chef
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info@calacs-entraide.ca

Sextos

L'autoexploitation juvénile (le sextage) se définit généralement comme le fait, pour une jeune personne, de créer et de transmettre ou de partager avec d'autres jeunes des photos/vidéos à caractère sexuel à l'aide d'Internet ou d'appareils électroniques (textos, messagerie instantanée, sites de réseaux sociaux, jeux en ligne etc.).

Envoyer une photo ou une vidéo intime, c'est très risqué. Les photos/vidéos et autres informations, une fois transmises, peuvent facilement être utilisées de façon malveillante par la suite. Le (ou la) destinataire pourrait les montrer à ses amis, les retransmettre ou les publier sur Internet, ou s'en servir pour manipuler l'autre personne et la contraindre, par exemple, à se livrer à d'autres activités sexuelles. D'ailleurs, au Canada, 24 à 26 % des ados ayant reçu un sexto l'achemine à un autre destinataire (Jeunes canadiens dans un monde branché, 2014). De plus, ces photos/vidéos peuvent réapparaître à tout moment !

Il est important de ne pas oublier que l'impact d'une diffusion de photos/vidéos est très grand pour les jeunes victimes, que ce soit à un niveau émotionnel (anxiété, dépression), social (rejet, expulsion de l'école) ou criminel (création de pornographie juvénile). Pour ceux (ou celles) qui les partagent, les conséquences sont aussi graves. Ils (ou elles) risquent d'être accusé(e)s de possession et de distribution de pornographie juvénile en vertu du Code criminel canadien.

Statistiques

  • 8 victimes sur 10 connaissent leur agresseur
  • 2/3 des victimes sont âgé.e.s de moins de 18 ans
  • 1/3 des filles seront agressées au moins une fois au cours de leur vie
  • 1/6 des garçons seront agressés au moins une fois au cours de leur vie
  • 1 femme sur 7 est agressée au moins une fois par son conjoint
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  • “Sortir du silence est un acte de courage pour améliorer sa vie.”

    “Oser être soi-même.”

    “Toute personne a le droit de dire non.”

    “Un oui suivi d’un non est un NON.”

    “Ne protégeons pas les agresseurs en gardant le silence.”

    “Rien ne justifie une agression sexuelle.”

    “L’agression sexuelle est un acte de violence et non une sexualité impulsive.”

    “Croire et appuyer celles et ceux qui osent rompre le silence.”

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